C’est en lisant votre article que j’ai décidé de vous faire part de mes commentaires et vous faire part des inquiétudes sinon mon opposition à ce projet. Nous parlons ici d’un méga projet immobilier comme Laval à connue et s’apprêtera en connaitre d’autres.

Le développement immobilier et Urbain est toujours un enjeux et cheval de bataille de toutes administration municipale. Certaines en sorte gagnante, enrichie et connaitrons une prospérité dans un avenir non loin et fera partie des bons coups que tous maires et mairesses pourront se vanter lors d’une soirée partisante, campagne électorale, devant une réunion de MRC ou une réunion de la Communauté Montréal Métropolitain.

Mais devant la question du développement d’une ville nous oublions de couvrir les effets et impacts économiques, environnementaux et sociaux qu’ils auront. À l’aube d’une récession mondiale   sans précèdent, suite è la pandémie que nous vivons et subissent les contre coups, il est facile de s’emballer devant et louanger un investisseur prêt et apte à dénouer les cordons de sa bourse. Le maire et la ville de Niagara l’ont fait avant nous. Je laisse les lecteurs enquêter et découvrir la suite.

Mais le but de cette lettre ou article et pour faire part de mes interrogations. Au sujet du projet de l’ile Gagnon et la revitalisation du périmètre entre curé-labelle et boul. Sainte-Rose.

Peu me connaisse au niveau politique, ironie du sort, mais pour ceux qui me connaisse sur plan personnel pourront vous dire que j’ai une passion, respect et admiration pour les espaces agricoles et la faune.

Les questions qui doivent être posées devant tout projet et surtout sur celui de l’ile Chagnon c’est l’impact, les couts qu’engendrent la réalisation et la viabilité de ce chantier.

On invoque sur l’ile une construction de 660 unités condos. Compte tenu de l’inventaire disponible sur le marché lavallois et environnant et qui tarde et peine à travers preneurs. La construction d’un Hôtel; 5 étoiles. Au risque d’être défini comme pessimiste. Le marché de Montréal, n’est nullement un marché qui dispose des critères que recherche les bannières 5 étoiles et cela depuis les années 80 avec le retrait du groupe Four Seasons. De plus, si nous analysons la structure hotellière du centre-ville de Montréal, plus précisément celle du Golden Square qui est la plus prisée par les hôteliers, .il y a sois fermeture ou réduction des chambres locatives et convertisse la balance en condo afin de renflouer et rentabilise leurs opérations. Pour ce qui est du taux d’occupation annuelle d’un Hôtel, elle était Jadis 70% et cela avant l’arrivée de ARBNB. Je base mes arguments en tenant compte des caractéristiques qu’offre Montréal au niveau Touristique et offrant une facilité de déplacement en transport en commun. Il y a le volet suite, salles de réception.   Avant de miser sur autant de bâti et que la ville autorise. Il y a l enjeux de la distanciation Sociale, héritage de la pandémie que nous vivons et apprenons à vivre. Il faut peut-être analyser comment réagisse et comment s’adapte celle déjà existante et qui peine à survivre dans un contexte de reprise incertain en suivant et mettant en œuvre des consignes dès plus ambiguës qui laisse place à un sérieux questionnement sur la suite des choses.

LA création de 1500 places de stationnement sous terrain. Là je dois admettre que je suis perplexe sur l’avancement du chiffre. Si nous tenon compte qu’il y a 660 unités de condo. Si nous calculons, en tenant compte d’un ratio d’un véhicule et demi ( 1.5) par habitation nous avons déjà un total de 990 véhicules, sans tenir compte de l’achalandage des clients de l’hôtel, salles de réception, centre de santé et bien-être, l’espace pour les visiteurs des nouveaux locataires et propriétaire des condos et le personnels et employé(es) travaillant aux divers établissement sur le site.

Infrastructure :

Un méga projet de ce genre demande une construction et implantation considérable en infrastructure urbaine.

Messieurs et mesdames les élu(e-s). Voici les questions à poser ou à répondre dépendant votre rôle au conseil de ville.

1-Quelle est l’impact de l’empreinte écologique et environnemental du défrichissement  et construction?

2-Combien couteront la construction, et l’entretien et réfection des réseaux sous terrains i.e. conduites d’eau potable., conduite d’eau usées, égout sanitaire, égout pluvial, gestion des boues municipale, gestion des déchets domestiques. Canalisations d’incendie, Implantation et réfection des voies carrossables. (il faut dire que cette dernière sera annuelle compte tenu de l’historique de nous routes au printemps).

3-La sécurité en ce qui concerne le transport en gaz naturel pour les foyers et les établissements alimentaires.

3- Est-ce que l’ajout de ces raccords sur les réseaux existant est-elle possibles ou causera t elle un suraménage des usines de filtrations et épurations d’eau.

4- Avec la construction de ces bâtiments appartenant a différente classification. Quelle est l’investissement ou les dépenses supplémentaires au niveau des services des incendies.

5- Veuillez tenir compte que le tout devra se faire sois par le sous terrain marin et il faut tenir compte de la corrosion, des courants sous-marins et tenir en tête la possibilité du dragage du sol marin ou les conduites seront-elles isolées ou seront transporté sous le tablier du pont.

6-Nous ne tenons nullement compte des érosions des berges qui sera accentuée sous l’emprise de toute cette activité humaine.

La question et combien coutera au contribuable et à la ville.? Le développement, n’est pas seulement une source de revenus pour une ville. Il y a aussi de nombreuses dépenses et obligation qui engage et seront responsabilités des lavalloises et lavallois.

Revitalisation

Première question que je me pose est la suivante Le pont de 80 mètre, qui va le payer et qui sera responsable.

Si le pont est au frais du promoteur, est ce qu’il en paiera les frais d’entretien et réfection et ce pendant toute la durée de son utilisation ou seras t il un actif de notre ville et nous serons obligé de le payer.

Quelle est l’impact sur l’écosystème marin et quelle sera la profondeur de l’érosion du plateau sous marin ou reposeront empattement et colonnes?

Pour ce qui est de la construction d’un hôtel. Je mets en doute déjà la viabilité de celui de du projet de l’ile Gagnon . Voilà qu’il y en aura un deuxième. À quelques centaines de mètre du premier. Ce qui sera une compétions directe, sans tenir compte du classement en termes d’étoile. À savoir quelle sera la grandeur et hauteur donc sa capacité d’hébergement.

Il y a la construction d’immeuble d’habitations de 12 étages. Est-ce une construction d’unité de condos car je lis aussi construction d’immeuble locatif aussi. Compte tenu de la surchauffe du marché immobilier lavallois Est-ce que c’est construction seront abordable ou elles seront laissées è la spéculation en espérant une sur enchère. Je trouve déplorable est pathétique que nous faisons mention du terne densification çi densification ça. Une zone densifiée et la raison que les gens ont quitté Montréal pour Laval et autre ville de banlieue. Une densification doit mérite que lui apporte une attention particulière et pas seulement une entrée, à sens unique, d’entrée d’argent dans les coffres de la ville en termes d’impôts foncier et droit de mutation. Une telle pensée relève sois d’un amateurisme politique ou d’une ignorance qui rejoint la profondeur abyssale. Il faut contrer, les débordements et les sur achalandages des quartiers afin de pouvoir offrir des efficaces, efficient et sécuritaires aux citoyens et ce petit rajout sera la nouvelle tendance depuis la crise du COVID-19 que nous vivons présentement.

Ce attire mon attention, devant tout dette densification et c est 1500 places supplémentaire pour ce projet de revitalisation. Le transport en commun n est presque pas mentionné et s’il en n’est en question, il en coutera combien de plus pour desservir une telle population et le Traffic que cela occasionnera .

Pour ce qui est des pistes cyclables, qui semblent  être un franc succès,(petit moment de sarcasme) vont t elle présente ou tout simplement relocaliser afin de pouvoir rendre la circulation fluide. Qui serait la logique.

Cette question à pour but d’interpeller Le Maire. Ici nous parlons d’ajout d’une résidence privée pouvant héberger 245 résidents et un CHLSD ayant une capacité d’en héberger 110.

Je garde un souvenir plutôt amer des nombreuses lacunes et ratés que Résidences et CHLSD un peu partout au Québec et surtout à Laval ont démontrés.

Sans tenir compte, des nombreux cas de contagion transmise aux résidents et dans l’état et conditions pitoyables et lamentables que certains résidents ont connus durant leur dernier jour de vie.

Même si , un CHLSD relève du Gouvernement Provincial ,il est de  la responsabilité de chaque ville d’assurer la sécurité de ses citoyens. Il ne faut jamais oublié que les actions passés confirme la  réalité du moment présent et à venir.

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