Les vielles bonnes écoles de gestion prêchent une compétition saine entre ville afin de se dynamiser et se mettre de l’avant sur la scène municipale.

Cette théorie et pratique a été bénéfique pour certaines et continuera de l’être. Ce qu’il faut toujours tenir compte est le coût du développement mais surtout l’entretien afin de soutenir et maintenir les structures, infrastructures et la dynamisation de la ville.

Une municipalité se mettra de l’avant en vantant les investissements qu’elle a fait et continuera à

 faire afin d’ajouter sur son territoire une panoplie de plateau et services à la population. Devant cet engouement les citoyens savent qu’ils sont dorénavant propriétaire d’un actif mais surtout garants du paiement.

Ce que les administrations municipales ne doivent pas perdre de vue et la réalité socio-démographique de leur territoire respectif et celle du Québec. Le Québec et géniteur d’environ 1140 villes. La majorité sont de 5000 habitants et moins.

Chaque municipalité doit dispenser les mêmes services de base à sa population, peu importe sa réalité démographique ou économique. L’option la plus viable qui se présente et qui vaut la peine que nous étudions et surement celle de l’économie de partage. Ce phénomène planétaire grandissant est déjà un mode de vie que nous utilisons sur une base quotidienne pour les achats de tous les jours, même les plus banales. Prenons par exemple, AMAZON ,UBER  et AIRBNB pour cité les plus connues.

Il serait absurde, dans le contexte financier incertain que nous traversons dû à cette pandémie et qui sera la protagoniste d’une crise financière qui surement dépassera tout pronostic.

Une administration municipale réfléchie doit savoir comment mettre en évidence ses infrastructures afin de les maximiser et rentabiliser. En réduire les couts de gestion et d’opération est quasi impossible dans le domaine public, sans avoir impact un considérable sur la population.  La privatisation du secteur publique, comme le veulent les adeptes de la nouvelle gestion publique n’est nullement à considérer. Le privé et l’antithèse du public et ne partage guère la même vision sur la finalité de l’œuvre et l’objectif.

Les cités doivent tout simplement entreprendre les méga projets en partenariat commun est instauré des partenariats à long terme en anticipant les développement et opportunités futurs qui peuvent se présenter à elles.

Un exemple concret est le centre de Bio Méthanisation. Les villes de Montréal et Laval se sont dotées chacun à leur tour d’une telle infrastructure, qui ont soulevées des questions d’incertitudes sur l’emplacement et dépassement de coûts.

La cause est plus que noble, mais il était plus avantageux d’en construire un seul dans par l’une des deux villes. Ce que nous avons ici, deux structures qui demande le double de la main d’œuvre pour arriver aux mêmes résultats et qui est tributaires de la volontés et l’engouement des gens.  Afin de minimiser les dépenses il était plus avantageux ci une des deux villes payer la titulaire du centre afin de pouvoir se départir de ses matières organiques et partager les bénéfices selon une entente .

Cet exemple en est un parmi tant. La même idéologie peut être mise en place en ce qui a trait aux usines d’épurations et de distribution d’eau aux divers plateaux sportifs d’envergure comme le fait plusieurs ville Européennes.

Mettre en évidences les espaces d’une école primaire, secondaire ou même une salle paroissiale au profit d’un collège ou d’une université sur son territoire. Rendre accessibles des études supérieures toujours dépendant du programme, n’est guère compliqué.  L’Université dispose d’une représentation moyennant un frais de location et la population dispose d’un service à faible pouvant jusqu’a retarder l’exile des jeunes vers les grandes villes

Le contexte géographique des municipalités et villes, plus précisément quand elles limitrophe, fait en sorte, que tout dépendant de leur localisation, elles ont des problèmes communs qui peuvent être réglés en groupe en minimisant les impacts

La science de la gestion et comme toute science, guère parfaite mais mérite qu’on y consacre temps et efforts afin de pouvoir y extirper une conclusion est stratégies efficientes qui assureront la pérennité et dynamisation des municipalités non à travers une compétition mais plutôt en collaboration.

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